1794 Armée de Pyrénées - Ordre de route pour pharmacien

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André Doreil Commissaire-Ordonnnateur aux Armée des Pyrenees

Sur demande de Pailhés, pharmacien de chef de l’hôpital militaire de Toulouse d’un élève pharmacien pour l’hôpital militaire à Perpignan, le citoyen Etienne Perboire élève en pharmacie se rendra à  l’hôpital de Perpignan, Département Pyrénées Orientales.
À Toulouse le 14 germinal an 2 (3 avril 1794)
Doreil.

 

 Sceau de cire rouge, reste peu de détail.

4 pages, 1 imprimée.

Plis horizontals et verticals.

  

DOREIL (d’Aureil ; d’Oreil), ANDRÉ (Jean-Baptiste), commissaire ordonnateur des guerres en Nouvelle-France, fils de Philippe Doreil et de Jeanne-Catherine Blancheteau, circa 1749–1759.

Doreil ne manquait pas de courage : en 1757, alors que les soldats nouvellement arrivés du régiment de Berry mouraient comme des mouches de la fièvre des vaisseaux (typhus ?) à l’Hôpital Général de Québec, contaminant religieuses et aumôniers, il visitait l’hôpital deux fois par jour pour s’assurer que tout était en ordre. Il louangea l’abondance et la qualité des soins prodigués à ses soldats par les communautés religieuses hospitalières, procurant à celles de Québec et de Montréal des prêts substantiels de la couronne.

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Armée de Pyrénées

Créée par décret de la Convention du 1er octobre 1792 et formée de la droite de l'Armée du Midi. Par décret du 30 avril 1793, au déclenchement de la guerre contre l'Espagne, elle est séparée en armée des Pyrénées orientales et armée des Pyrénées occidentales1.

Son arrondissement est à sa création, des Bouches-du-Rhône à l'embouchure de la Gironde, correspondant aux 9e, 10e, 11e et 20e divisions militaires.

Par arrêté du 1er mars 1793, son arrondissement s'étend des côtes de la Méditerranée depuis l'embouchure du Rhône jusqu'aux Pyrénées, la frontière d'Espagne, les côtes de l'Océan Atlantique depuis Hendaye jusqu'à l'embouchure de la Gironde.

Elle se compose des bataillons de garnison laissés dans l'arrondissement qui lui est affecté et de bataillons de nouvelle levée (bataillons de fédérés et de volontaires nationaux appelés à la défense de la Patrie déclarée en danger). À la fin de l'année 1792, elle n'était pas encore réunie et commençait à peine à s'organiser.

À la séparation de l'armée des Pyrénées, Toulouse reste un centre d'approvisionnements commun aux deux armées.

WIKIPEDIA